L'année dernière tellement emballé par l'ambiance de ce funfly, je n'avais qu'une envie c'était d'y retourner. Mes 2 camarades de voyages de l'an passé n'étant pas disponibles, c'est avec un autre copain que je prévoyais de faire le déplacement. Mais, ce dernier c'étant désisté, cela fut bien compromis.
A la toute dernière minute, Fabien, un camarade hélicoptériste m'a finalement proposé de m'emmener avec lui, proposition que j'ai accepté immédiatement tellement j'étais content.
Je l'ai donc rejoint mercredi 02 août à Paris d'où nous sommes partis.

Après plus de 10h de route sans encombre, nous sommes arrivés à Roztoky (c'est là que nous avions notre hôtel) jeudi matin à 6h00. Et, avant toute autre chose nous avons pris un peu de repos.
A mon réveil, en fin de matinée, je suis aller rendre visite aux copains français arrivés sur place plus tôt que nous. Puis un peu plus tard, alors qu'ils se rendaient au terrain, je suis allé réveiller Fabien afin de suivre le convoi.

Malheureusement pour moi, c'est là que la galère a commencé. En effet, à peine partis, notre voiture a décidé de déclarer forfait. Bilan, galet tendeur de la courroie de distribution bloqué et fondu, distribution décalée!!!!!

Cette journée, dont je vous passerai les détails car ça deviendrait très long, fût donc le début d'une longue galère qui ne s'est terminée pour moi que le mercredi 09 août à Dijon à 3h00 du matin.

Voilà, quelques photos du jeudi...

Après une nuit agitée, j'étais réveillé de très bonne heure.

Dans l'après-midi, grâce à la gentillesse de Ludvik Novotny (lequel s'est d'ailleurs bien occupé de nous) nous avons pu nous rendre sur le terrain.

Mes souvenirs étant teintés d'une humeur maussade, vous n'aurez pour commentaires de cette journée que ceux des photos qui suivent.

Normalement, nous devions rentrer en France aujourd'hui, mais n'ayant toujours pas de nouvelles positives de la voiture et ne sachant toujours pas quand ni comment nous allions pouvoir rentrer, nous avons dû nous résoudre à regarder partir les autres et à rester sur place.

Dans l'après-midi, nous avons quand même pris un taxi pour nous rendre au terrain, car nous avions des dettes à régler et qu'il était tout simplement impensable que l'on parte sans que cela soit fait.

Lorsque nous sommes arrivés sur le terrain, il n'y avait plus que Petr Novotny et quelques gars qui étaient en train de remballer. Puis, Petr nous a gentillement emmenés au resto puis ramener à l'hôtel.